Chaque année, c’est la même chanson. Décembre arrive, et avec lui, une avalanche de dons. 41 % des dons annuels sont collectés en trois mois, dont la moitié rien qu’en décembre. Coïncidence ? Pas vraiment.

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Et si la solidarité devenait aussi naturelle qu’acheter une baguette ?

Entre les petits fours et les derniers achats de Noël, la calculette fiscale s’invite souvent à la fête :

👉 “Tiens, c’est marrant, si je fais une bonne action, ça passe aussi mieux pour mes impôts !”

Sauf que…

Une asso, ce n’est pas une boutique éphémère. Elle ne disparaît pas une fois la saison des cadeaux passée :

• Les factures tombent tous les mois. Salaires, loyers, fournitures… Même en juillet, même en mars.
• Donner une fois, c’est bien. Donner régulièrement, c’est essentiel.
• C’est là que le modèle traditionnel des dons montre ses limites.

Les associations peuvent compter sur la générosité de fin d’année… mais le reste du temps, elles jonglent avec l’incertitude.

Chez Ramdam Social, on s’est demandé :

👉 Et si chaque achat du quotidien devenait un geste solidaire, sans attendre décembre ?

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Un modèle de solidarité simple, régulier et automatique

Plutôt que de tout miser sur des campagnes ponctuelles ou des spots larmoyants, on a imaginé un système :

👉 Chaque produit acheté finance directement des repas et des produits d’hygiène pour ceux qui en ont besoin.

Pas besoin de niche fiscale ou de rappel à la dernière minute.

Juste des actes utiles, réalisés au bon moment : maintenant.

Acheter un paquet de sablés ou un plat cuisiné devient un moyen simple d’aider, sans effort supplémentaire.

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On n’est pas les seuls à y croire…

La solidarité du quotidien, c’est un mouvement qui grandit.

Regardez MicroDon avec l’arrondi solidaire, Dift et ses cadeaux éthiques, ou encore Leetchi et ses cagnottes partagées.

👉 Ils prouvent qu’on peut tous faire mieux, tous les jours.

👉 Ils montrent que la générosité n’a pas besoin d’attendre décembre.

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Et nous, avec Ramdam Social, on veut aller encore plus loin.
Chaque repas, chaque apéro, chaque goûter devient une occasion d’agir.
Parce que la solidarité, ça ne devrait pas être une résolution de fin d’année.
Ça devrait être un réflexe.

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